Bestiaire - Humanoïdes Monstrueux
Les Humanoïdes monstrueux
Harpie
Il est difficile d’imaginer d’être plus malfaisant que la harpie. Sadique à l’extrême, elle prend un plaisir sans cesse renouvelé à causer la souffrance et la mort. Elle cherche constamment de nouvelles victimes.
Elle ressemble à une vieille humaine aux traits déformés par la méchanceté et dont le bas du corps est à mi-chemin entre celui d’un oiseau et d’un dinosaure. Elle a de grandes ailes de chauve-souris et ses longs cheveux sales sont poisseux du sang de ses victimes. Ses yeux noirs reflètent sa malice, tout comme les longues griffes qui poussent à l’extrémité de ses doigts noueux. Elle ne porte jamais aucun vêtement, mais se déplace parfois avec un gros tibia qu’elle utilise comme gourdin.
Elle aime envoûter les voyageurs à l’aide de son chant, avant de leur faire subir des tourments indicibles. Elle ne se décide à tuer et à dévorer ses "jouets" que quand ils ne lui procurent plus le moindre amusement.
Combat. Quand une harpie doit combattre, elle préfère le faire à l’aide d’une arme en attaquant en vol.
Elle ressemble à une vieille humaine aux traits déformés par la méchanceté et dont le bas du corps est à mi-chemin entre celui d’un oiseau et d’un dinosaure. Elle a de grandes ailes de chauve-souris et ses longs cheveux sales sont poisseux du sang de ses victimes. Ses yeux noirs reflètent sa malice, tout comme les longues griffes qui poussent à l’extrémité de ses doigts noueux. Elle ne porte jamais aucun vêtement, mais se déplace parfois avec un gros tibia qu’elle utilise comme gourdin.
Elle aime envoûter les voyageurs à l’aide de son chant, avant de leur faire subir des tourments indicibles. Elle ne se décide à tuer et à dévorer ses "jouets" que quand ils ne lui procurent plus le moindre amusement.
Combat. Quand une harpie doit combattre, elle préfère le faire à l’aide d’une arme en attaquant en vol.
Guenaude marine
Cette guenaude est sans doute la plus laide de toutes. Elle vie en mer ou dans les lacs abritant une épaisse végétation sous-marine. Sa peau jaunâtre est couverte de verrues et de pustules laissant en permanence échapper un pus écœurant. Ses longs cheveux sales ressemblent à de l’algue pourrie.
Combat. La guenaude marine déteste la subtilité, préférant attaquer de front. Elle prend toutefois garde de rester cachée jusqu’au moment où elle pourra affecter le plus de créatures possibles à l’aide de son aspect terrifiant.
Combat. La guenaude marine déteste la subtilité, préférant attaquer de front. Elle prend toutefois garde de rester cachée jusqu’au moment où elle pourra affecter le plus de créatures possibles à l’aide de son aspect terrifiant.
Méduse
La méduse est une créature haïssable et repoussante, capable de pétrifier les êtres vivants d’un seul regard. Elle apprécie l’argent, les bijoux et les objets d’arts, à tel point qu’elle cherche toujours à en acquérir davantage.
Au-delà de 10 mètres, il est impossible de faire la différence entre une méduse et une humaine (la supercherie peut même durer plus longtemps si elle cache son visage). De près, sa véritable nature devient évidente. Son visage difforme est coiffé d’une nuée de serpents sifflants en guise de cheveux et ses yeux luisent d’un éclat rouge sombre. Contraste saisissant, son corps est celui d’une femme parfaitement proportionnée, même s’il est couvert d’écailles brunes. Consciente de ses atouts, elle porte souvent des vêtements mettant sa silhouette en valeur, tout en voilant son visage ou en cachant ses ‘’cheveux’’ sous une capuche. Elle mesure entre 1,50 mètre et 1,80 mètre.
Les méduses sont présentes sous toutes les latitudes. Certaines résident dans les grandes villes, auquel cas elles se joignent au milieu du crime pour mieux acquérir les trésors qu’elles désirent tant. Quelques unes ont même constitué des organisations de voleur ou de contrebandiers.
Combat. La méduse dissimule sa vrai nature tant que sa cible n’est pas à portée de son regard pétrifiant. Pour ce faire, elle n’hésite pas à user de subterfuges et de persuasion pour faire croire à sa victime qu’il n’y a pas le moindre danger. Elle utilise ses armes pour combattre ceux qui résistent à son regard, les serpents venimeux de sa tête tentant de mordre tous ses adversaire adjacents.
Au-delà de 10 mètres, il est impossible de faire la différence entre une méduse et une humaine (la supercherie peut même durer plus longtemps si elle cache son visage). De près, sa véritable nature devient évidente. Son visage difforme est coiffé d’une nuée de serpents sifflants en guise de cheveux et ses yeux luisent d’un éclat rouge sombre. Contraste saisissant, son corps est celui d’une femme parfaitement proportionnée, même s’il est couvert d’écailles brunes. Consciente de ses atouts, elle porte souvent des vêtements mettant sa silhouette en valeur, tout en voilant son visage ou en cachant ses ‘’cheveux’’ sous une capuche. Elle mesure entre 1,50 mètre et 1,80 mètre.
Les méduses sont présentes sous toutes les latitudes. Certaines résident dans les grandes villes, auquel cas elles se joignent au milieu du crime pour mieux acquérir les trésors qu’elles désirent tant. Quelques unes ont même constitué des organisations de voleur ou de contrebandiers.
Combat. La méduse dissimule sa vrai nature tant que sa cible n’est pas à portée de son regard pétrifiant. Pour ce faire, elle n’hésite pas à user de subterfuges et de persuasion pour faire croire à sa victime qu’il n’y a pas le moindre danger. Elle utilise ses armes pour combattre ceux qui résistent à son regard, les serpents venimeux de sa tête tentant de mordre tous ses adversaire adjacents.
Minotaure
Le minotaure est un monstre puissant et farouchement territorial, qui vit souvent au cœur d’un labyrinthe souterrain.
Son phénoménal instinct lui permet de retrouver son chemin dans les pires dédales, et il y fait fréquemment appel pour traquer, tourmenter et finalement massacrer les intrus.
Il ressemble à un humain aux muscles saillants doté d’une tête de taureau. Haut de plus de 2,10 mètres, il est couvert d’un pelage hirsute. Ses yeux noirs luisent de fureur et de sauvagerie.
Il parle le géant.
Combat. Le minotaure est un adepte du combat au corps à corps, qui lui permet de déployer toute sa force physique.
Son phénoménal instinct lui permet de retrouver son chemin dans les pires dédales, et il y fait fréquemment appel pour traquer, tourmenter et finalement massacrer les intrus.
Il ressemble à un humain aux muscles saillants doté d’une tête de taureau. Haut de plus de 2,10 mètres, il est couvert d’un pelage hirsute. Ses yeux noirs luisent de fureur et de sauvagerie.
Il parle le géant.
Combat. Le minotaure est un adepte du combat au corps à corps, qui lui permet de déployer toute sa force physique.
Scorpio (Skorpiocentaure dans D&D)
Les scorpios parviennent à réaliser la synthèse d'un mysticisme religieux, de tendances meurtrières et du dard d'un scorpion géant.
La créature est une variante bizarre du centaure : elle a à peu près la même taille, mais la partie inférieure de son corps est celle d'un scorpion.
La créature a la peau rouge et aucun cheveu ; son visage affiche un calme exceptionnel et ses traits sont presque inhumainement séduisants.
Les scorpios appartiennent à une culture exceptionnellement sophistiquée, faite d'un ensemble complexe de philosophies étranges, elles-mêmes constituées de notions humaines déformées après leur passage par des yeux à multiples facettes d'insectes. Deux des curieuses pratiques des scorpio doivent être mentionnées ici. La première, appelée la "course des scorpio" à Faerûn, rassemble deux groupes de deux à vingt scorpios, parfois arrachés à leur nid, que rien ne pourra arrêter sauf s'ils sont attaqués ou forcés de se défendre. Ils vont courir aussi vite et aussi longtemps que possible... jusqu'à en mourir. Les participants tombent simplement d'épuisement, les uns après les autres. Et personne ne sait pourquoi.
Les habitants de la surface comprennent à peine mieux la seconde bizarrerie, à savoir la méthode particulière de divination qu'emploient les scorpios. Les scorpios vivent sous terre ; en utilisant leur faculté à percevoir les vibrations et leur connaissance de la région se trouvant au-dessus d'eux, ils dessinent des grilles mystiques. Puis ils se dispersent et attendent, immobiles pendant des jours, jusqu'à ce que suffisamment de créatures se soient déplacées sur la grille ; ils peuvent relier ses éléments en un motif ayant un sens. Personne ne comprend comment les scorpios conçoivent ces grilles ni quelles informations ils espèrent découvrir grâce à elles - tout ce que l'on sait c'est qu'en certaines périodes, les scorpios sortent à la surface, prêts à combattre et convaincus par le motif apparu sur leur dernière grille mystique que c'est la seule attitude à adopter. En d'autres occasions, les scorpios ont des comportements totalement aléatoires vis-à-vis des étrangers, même ceux qui ne leurs sont pas inconnus, convaincus là encore par les résultats de leur méthode de divination que c'est le bon choix.
Combat. La faculté des scorpios à percevoir les vibrations, leurs pouvoirs de leur magie du refuge et leur excellente valeur d'initiative leur permettent souvent de porter le premier coup au combat. Ils espèrent affaiblir leur adversaire avec leur venin.
La société des scorpios. Les scorpios, tous sexes confondus, sont des combattants. Les participants à la "course des scorpio" sont à 90 % des mâles. Les groupes qui participent à leur étrange rituel de divination sont d'ordinaire composés à part égale de mâles et de femelles.
La créature est une variante bizarre du centaure : elle a à peu près la même taille, mais la partie inférieure de son corps est celle d'un scorpion.
La créature a la peau rouge et aucun cheveu ; son visage affiche un calme exceptionnel et ses traits sont presque inhumainement séduisants.
Les scorpios appartiennent à une culture exceptionnellement sophistiquée, faite d'un ensemble complexe de philosophies étranges, elles-mêmes constituées de notions humaines déformées après leur passage par des yeux à multiples facettes d'insectes. Deux des curieuses pratiques des scorpio doivent être mentionnées ici. La première, appelée la "course des scorpio" à Faerûn, rassemble deux groupes de deux à vingt scorpios, parfois arrachés à leur nid, que rien ne pourra arrêter sauf s'ils sont attaqués ou forcés de se défendre. Ils vont courir aussi vite et aussi longtemps que possible... jusqu'à en mourir. Les participants tombent simplement d'épuisement, les uns après les autres. Et personne ne sait pourquoi.
Les habitants de la surface comprennent à peine mieux la seconde bizarrerie, à savoir la méthode particulière de divination qu'emploient les scorpios. Les scorpios vivent sous terre ; en utilisant leur faculté à percevoir les vibrations et leur connaissance de la région se trouvant au-dessus d'eux, ils dessinent des grilles mystiques. Puis ils se dispersent et attendent, immobiles pendant des jours, jusqu'à ce que suffisamment de créatures se soient déplacées sur la grille ; ils peuvent relier ses éléments en un motif ayant un sens. Personne ne comprend comment les scorpios conçoivent ces grilles ni quelles informations ils espèrent découvrir grâce à elles - tout ce que l'on sait c'est qu'en certaines périodes, les scorpios sortent à la surface, prêts à combattre et convaincus par le motif apparu sur leur dernière grille mystique que c'est la seule attitude à adopter. En d'autres occasions, les scorpios ont des comportements totalement aléatoires vis-à-vis des étrangers, même ceux qui ne leurs sont pas inconnus, convaincus là encore par les résultats de leur méthode de divination que c'est le bon choix.
Combat. La faculté des scorpios à percevoir les vibrations, leurs pouvoirs de leur magie du refuge et leur excellente valeur d'initiative leur permettent souvent de porter le premier coup au combat. Ils espèrent affaiblir leur adversaire avec leur venin.
La société des scorpios. Les scorpios, tous sexes confondus, sont des combattants. Les participants à la "course des scorpio" sont à 90 % des mâles. Les groupes qui participent à leur étrange rituel de divination sont d'ordinaire composés à part égale de mâles et de femelles.
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127 aiment, 12 pas.
Note moyenne : (147 évaluations | 4 critiques)
8,7 / 10
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Excellent
158 joliens y jouent, 1074 y ont joué.
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8 février 2019
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2 janvier 2012
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24 décembre 2011
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19 décembre 2011
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16 juin 2011